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RDV sur FR5 pour Échappées belles le 20 février à 20h40!

Un reportage complet sur le Miel et l'Hydromel de Paris, signé Raphaël de Casabianca.

Extraits:

"Découvrir le Paris derrière la carte postale, tel est l’objectif poursuivi par Raphaël de Casabianca dans ce numéro d’Echappées belles. D’une balade sur la Seine en compagnie de son dernier mécano à la visite guidée des cuisines de l’hôtel Matignon avec l’un des derniers rémouleurs parisiens, en passant par la dégustation d’hydromel dans les catacombes, l’animateur arpente les rues d’une capitale insolite et colorée. Raphaël de Casabianca évoque le tournage dans la capitale et les rencontres qu’il a faites : « Enfant, j’ai visité la galerie de l’Evolution, mais je n’avais pas eu la chance de le faire dans de telles conditions : pour l’émission, j’ai pu rencontrer le taxidermiste, Christophe, et visiter son atelier. C’est ce qui est intéressant dans Echappées belles : à chaque fois, présenter un lieu et ses coulisses, comme la grande galerie et son atelier de taxidermie ou le Cirque d’hiver et ses loges. Nous avons retenu cet angle pour ce numéro : montrer un endroit emblématique du Paris "carte postale” et ce qu’on peut trouver derrière. Avec Echappées belles, nous avons l’habitude d’aller dans le monde entier – récemment en Birmanie, prochainement à Hawaii. Consacrer une émission à l’endroit où l’on vit peut être plus simple pour le tournage, mais aussi plus compliqué du fait d’une plus grande familiarité avec les lieux. D’ailleurs, ce n’est jamais à 100 % une découverte : j’avais déjà entendu parler du rémouleur ; de même, je savais que des apiculteurs produisaient du miel à Paris. Typiquement, je ne m’étais jamais promené sur la Seine dans une embarcation privée. Je suis content parce que, finalement, j’ai pu envisager cette ville qui est la mienne avec un regard neuf. Pour avoir de telles surprises, il faut cultiver sa curiosité. »

Quelques figures parisiennes croisées par Raphaël

© Killian Mourcou / Bo Travail !

Audric de Campeau, apiculteur Les catacombes : drôle de lieu de rendez-vous pour parler de miel. Pourtant, c’est bien dans les souterrains historiques de la capitale (400 kilomètres) que Raphaël de Casabianca rencontre Audric. L’apiculteur, canotier sur la tête et deux tonneaux devant lui, propose alors une dégustation de l’« hydromel de Paris », fabriqué à partir du miel de ses ruches. Après cet aparté à 30 mètres sous terre, l’animateur est invité à la tournée des ruchers sur les toits des Invalides et de l’Ecole militaire. Contrairement aux idées reçues, ce miel n’est pas pollué. Audric a bien retrouvé des traces d’hydrocarbures dans la cire et le corps des abeilles, mais pas dans le précieux nectar. La raison ? Les pesticides ne sont pas utilisés dans les espaces verts parisiens. "

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